Lorsque je suis retournée à « Decky-Langmatt » après le décès de mon père, je n’ai presque pas reconnu l’endroit, cela ne correspondait plus à mes souvenirs tellement la végétation avait envahi le terrain. Il y avait urgence : le pré et le chemin étaient impraticables. J’ai remonté mes manches l’été 2016 pour faire le plus urgent. Avec l’aide de mon coussin, Edouard et de mon ami d’enfance, Bernard, nous avons rouvert l’accès du rucher et défriché la première parcelle « Decky 108 ».