Depuis que les épicéas ont été coupés et nettoyés, le terrain est propre dans sa majeure partie, mais il reste deux tas de branches imposants, un en avale du terrain et l’autre en amont. C’est très embêtant car cela pourri par le dessous et devient trop acide sur le dessus pour planter. C’est également trop lourd à déplacer. Je décide malgré l’interdiction de faire du feu de le brûler.
Cela m’a pris deux jours, branche après branche, afin d’avoir un feu métrisable. En dessous je retrouve une terre noire, riche de promesse. Je sais que si je laisse la terre sans être travaillée nous allons perdre une année... J’en parle alors au sculpteur Lorenzo qui en parle à son tour à Nono qui devient une nouvelle adhérente ! C’est ainsi qu’à ma grande joie il y a la naissance d’un potager. Nous le découvrirons en juillet.